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Grande joie pour les sœurs des Servantes des Pauvres à Brive-la-Gaillarde (France) : Le 16 septembre 2025, Monseigneur Eric Bidot, évêque de Tulle, est venu bénir la première pierre de la chapelle ! Après trois ans de présence à Brive-la-Gaillarde, cette bénédiction enracine encore un peu plus les Servantes des Pauvres dans ce beau diocèse de Tulle. Elle en rendent grâce à Dieu et prie avec beaucoup de reconnaissance pour les bienfaiteurs qui ont permis la construction de cette chapelle. Outre les membres du clergé venus entourer leur évêque, étaient présents pour cet heureux événement de nombreux fidèles de l’espace missionnaire de Brive, mais aussi des malades soignés par les sœurs, ainsi que des représentants des entreprises participant à la construction. Cette bénédiction de la première pierre est une réponse à la demande de dom Camille Leduc de commencer par bâtir une chapelle dans chacune de leurs fondations. « La présence du Très Saint Sacrement au cœur de la maison rappelle aux Servantes des Pauvres que Notre-Seigneur est tout à la fois le Maître des lieux, leur premier Supérieur et leur confident habituel ». Pierres vivantes de l’Église, les sœurs seront fidèles à le visiter et le prieront particulièrement pour les malades. https://servantesdespauvres-osb.org/benediction-de-la-premiere-pierre-de-la-chapelle-a-brive/

Les bénédictins d’Asie de l’Est et d’Océanie se sont rassemblés en octobre au monastère de Thiên Bình, près de Hô Chi Minh-Ville, pour leur rencontre biennale. L’événement a réuni des supérieurs et des délégués de monastères situés en Australie, en Chine, en Indonésie, au Japon, à Kiribati, en Corée, aux Philippines, en Thaïlande, à Taïwan et au Vietnam — représentant près d’un millier de moines, moniales et sœurs de toute la région. La présence bénédictine dans cette partie du monde remonte à près de deux siècles. Elle commence en 1835, lorsque Mgr John Bede Polding OSB arrive à Sydney. Le premier monastère est fondé en 1848. À partir de ces débuts, la vie monastique s’est progressivement enracinée dans le Pacifique et en Asie de l’Est, souvent grâce à un élan missionnaire audacieux, parfois au prix de grandes souffrances et du martyre. Les réunions du BEAO, organisées environ tous les deux ans, visent à approfondir la collaboration entre ces communautés diverses, notamment dans les domaines de la formation et de l’éducation, et à renforcer les liens de fraternité au sein de la grande famille bénédictine. Lors de cette rencontre, Sœur Meg Kahler, des Sœurs du Bon Samaritain d’Australie, a été élue pour succéder au Frère Nicholas Koss, du prieuré de Wimmer, à Taïwan, qui a guidé le réseau avec dévouement et clairvoyance depuis ses débuts il y a trente ans. Le programme de la rencontre a alterné présentations, prières, temps de réflexion et discussions sur les défis et opportunités partagés de la vie bénédictine. Parmi les intervenants figuraient l’Abbé Primat Jeremias Schröder qui a abordé la relation entre les branches masculine et féminine de l’ordre, et présenté le Jubilé de 2029, ainsi que le père Cyprian Consiglio, secrétaire général du Dialogue Monastique Interreligieux. L’Abbé Bernard Lorent Tayart, président de l’Alliance InterMonastère, est également intervenu, de même que le père Joseph Nguyễn Văn Ấm, SDB, qui a parlé de la vie de l’Église au Vietnam. Deux abbés présidents de congrégations internationales — les Subiaco-Mont-Cassin et Sankt Ottilien — ont fait le voyage depuis l’Europe pour y participer. Le nonce apostolique au Vietnam, Mgr Marek Zalewski, a présidé la messe d’ouverture. Tout au long de la semaine, les participants ont partagé le rythme quotidien de prière avec la communauté monastique de Thiên Bình. La rencontre s’est conclue par une journée à Hô Chi Minh-Ville, l’ancienne Saïgon, au cours de laquelle les participants ont visité la cathédrale et le centre pastoral archidiocésain, qui abrite un remarquable institut de formation pour les laïcs. La journée s’est terminée dans une ambiance fraternelle, autour d’un déjeuner de fruits de mer et d’une soirée culturelle animée célébrant la diversité et l’unité de la famille bénédictine d’Asie de l’Est et d’Océanie. osb.org

Depuis plusieurs années, la communauté cistercienne de Bellefontaine (France) s’est interrogée sur son avenir. Dans une première étape, elle a cherché à adapter ses lieux communautaires à un plus petit nombre de frères, mais au fil du temps, elle a pris conscience que les frères ne pourraient pas continuer à vivre seuls sur cette propriété immobilière du 19e siècle de 120 hectares, devenue trop grande pour un petit groupe de moines dont la moyenne d’âge avait atteint 80 ans. Alors, elle a cherché comment un partenariat serait possible avec des associations avec lesquelles elle aurait pu partager son lieu de vie. Divers obstacles se sont dressés sur sa route qui l’ont obligée à renoncer à ce projet. Ce fut une grande déception et aussi une grande épreuve pour les frères, et également pour les deux associations avec lesquelles la communauté avait tant travaillé. Mais l’abbaye va continuer à vivre ! En effet, des bénédictins vont pouvoir reprendre le flambeau de la vie monastique et s’installer à Bellefontaine dans le courant de l’année 2026. Comment oublier que la vie monastique y a commencé au début du deuxième millénaire, après qu’un ermite se soit installé dans le vallon vers 1010, donnant assez rapidement naissance à un prieuré bénédictin qui devint abbaye au XII° siècle. Puis, en 1642, leur succédèrent des moines Feuillants, et ce, jusqu’à la Révolution. Il faudra alors attendre Dom Urbain Guillet, moine cistercien de la Grande Trappe, pour que Bellefontaine renaisse de ses cendres à partir de 1816 et connaisse un grand renouveau, puisque la communauté comptera jusqu’à 120 moines, cinquante ans plus tard. Avec l’arrivée des frères bénédictins du Barroux , ce sera donc, en quelque sorte, un retour aux débuts de l’abbaye de Bellefontaine… Ainsi va l’Histoire… L’essentiel est que cette histoire millénaire se perpétue, et que ce lieu de haute spiritualité, sans doute le plus ancien de tout l’Anjou, puisse continuer à rayonner et à témoigner de l’évangile. La communauté cistercienne, quant à elle, va devoir quitter ce lieu béni de Bellefontaine, et les frères vont se disperser. Sept d’entre nous vont rejoindre la maison de retraite des sœurs de la Congrégation Sainte-Marie de Torfou, que nous remercions vivement pour leur accueil si fraternel et attentionné. Parmi les moins âgés, trois ont déjà choisi une autre communauté pour y poursuivre leur vie monastique, et trois autres, vont vivre une expérience transitoire avant de faire un choix définitif. C’est donc le 13 novembre prochain , en la fête de la Toussaint monastique, que l’abbaye de Bellefontaine fermera temporairement ses portes . Il n’y aura plus d’offices ouverts au public, mais deux frères de la communauté continueront à vivre sur place. Avec l’aide des employés présents sur le site, ils maintiendront les activités économiques, en particuliers la production de pommes et de kiwis. Ils assureront aussi, bien sûr, le bon fonctionnement du magasin, en attendant la venue d’un nouvel essaim monastique à la fin du printemps. C’est ainsi que nous vous invitons à continuer à venir nous visiter pour nous aider et nous soutenir, dans cette phase intermédiaire un peu délicate de l’histoire de l’abbaye de Bellefontaine. Père Samuel, supérieur de l'abbaye de Bellefontaine http://bellefontaine-abbaye.com/ ocso.org

Lettre d'automne de l'association Les Amis des Monastères à Travers le Monde, numéro 176 : Voir la page de l'AMTM sur le site : https://www.aimintl.org/about-us/friends-of-the-monasteries

Attention : Un courriel circule prétendant provenir d’un évêque en Irlande ; il mentionne l’Abbé Général et les membres de son Conseil et demande de l’argent pour des sœurs en Tanzanie. Il s’agit d’une arnaque ; veuillez ne pas y répondre. ocso.org

Le Synode des abbés présidents a réuni à Montserrat, du 15 au 19 septembre 2025, les dirigeants de la Confédération bénédictine pour plusieurs jours de délibérations, de fraternité et de prière commune. Deux nouveaux membres étaient présents : Dom Javier Aparicio, de la Congrégation d’Ottilien, et Dom Jayawardena Shamindra, de la Congrégation silvestrine. Leur présence a apporté des voix et des perspectives nouvelles dans les échanges. Les rapports de l’Abbé Primat et des différentes congrégations ont donné un aperçu clair de la diversité des situations vécues par les monastères bénédictins à travers le monde, allant de communautés florissantes à celles confrontées à de sérieuses difficultés. Un moment fort du Synode fut la journée partagée avec la Communio Internationalis Benedictinarum (CIB), l’organisation mondiale des moniales et sœurs bénédictines. L’ambiance était excellente et de nombreux sujets d’intérêt commun ont été abordés. Sœur Lynn McKenzie a présenté les derniers développements de la CIB, notamment de nouvelles initiatives pour la formation et le renforcement institutionnel de l’organisation. Cette journée conjointe comprenait également une présentation sur les préparatifs du jubilé bénédictin de 2029, marquant quinze siècles depuis que saint Benoît a fondé Montecassino. La conférence fut donnée par Adam Simon, coordinateur mondial du jubilé. Son intervention a suscité l’imagination des participants, exposant à la fois la vision et les étapes pratiques nécessaires pour préparer une célébration internationale de la vie et du témoignage bénédictins. À la suite de cette présentation, les participants se sont répartis en groupes de discussion pour explorer des idées sur la manière de vivre le jubilé au niveau local et mondial. Ces échanges ont été associés à un second thème : la réalité des communautés fragiles. Les responsables réunis ont réfléchi ensemble aux moyens pastoraux, canoniques et pratiques d’accompagner les monastères en difficulté, cherchant des stratégies alliant solidarité et réalisme. Le Synode comprenait également une sortie au-delà de Montserrat, lorsque les participants se sont rendus ensemble à Barcelone. Cette journée leur a permis de visiter l’Hôpital Sant Pau, chef-d’œuvre moderniste de Lluís Domènech i Montaner, et de découvrir la grandeur et la profondeur spirituelle de la Sagrada Família, basilique encore inachevée d’Antoni Gaudí. Partager cette journée dans la ville a renforcé les liens entre les abbés présidents et leur a rappelé combien la vie bénédictine s’enrichit de l’art, de l’architecture et du patrimoine culturel plus large des lieux où les monastères sont enracinés. À la fin du Synode, de nombreux participants se sont sentis revigorés, avec un sens renouvelé de l’unité, de la mission et de l’espérance. Les sessions communes avec la CIB ont révélé combien la collaboration entre les deux branches de l’ordre peut être source de force. Le jubilé de 2029, bien qu’encore à l’horizon, est déjà apparu comme un point de convergence mobilisateur pour toute la famille bénédictine. Les journées passées à Montserrat ont laissé les abbés présidents plus profondément liés dans leur mission commune de service aux communautés monastiques qui leur sont confiées. osb.org

Nouveau Bulletin de l'AIM, n° 129 : Les communautés en zone de conflits. https://www.aimintl.org/communication/report/129 Si vous souhaitez recevoir le Bulletin en version papier, vous pouvez le demander en utilisant le formulaire de contact de notre site. Sommaire   Éditorial Dom Bernard Lorent Tayart, OSB, Président de l’AIM   Méditations • La paix dans la RB La Rédaction   • « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. » (Jn 14, 27) Dom Maksymilian R. Nawara, OSB   • La mosaïque de l’abside de la basiliqueSaint-Clément (Rome) P. Alex Echeandía, OSB   Ouverture sur le monde • Carte des conflits dans le monde   • Guerres de toujours, guerres d’aujourd’hui Compte rendu d’un article   Témoignages • Le monastère Sainte-Marie de la Paix : du Nicaragua au Panama Les moniales de Sorá, OCSO   • L’abbaye de Mokoto (RDC) Dom Bernard Oberlin, OCSO   • Vivre dans une culture de violence ; l’expérience nigériane P. Peter Eghwrudjakpor, OSB   • Le monastère de Bethléem : un monastère au pied du mur Monastère de l’Emmanuel, OSB   • Le monastère Fons Pacis : la paix dans l’insécurité et l’incertitude Mère Marta Luisa Fagnani, OCSO   • Cris silencieux du Madhya Pradesh Sœur Asha Thayyil, OSB   • Graines d'espoir au milieu de la souffrance Sœur Maria Liudmyla Kukharyk, OSB   • La guerre la plus dure… Patriarche Athénagoras   Liturgie « Vision de paix » - Liturgie et architecture Père Gérard Gally   Grandes figures de la vie monastique • Mère Máire Hickey, OSB Site web de l’abbaye de Kylemore   • Dom Mamerto Menapace, OSB Cuadernos monásticos 234   Nouvelles • Le nouveau Secrétariat de l’AIM La Rédaction   • Extrait du rapport du DIM-MID au Congresso P. William Skudlarek, OSB   • Le nouveau Secrétaire général du DIM-MID P. Cyprian Consiglio, OSB   Projets soutenus par l’aim Mahitsy, Umkon, EMLA

Pour la première fois depuis 2011, la Commission internationale pour l’éducation bénédictine (ICBE) a organisé un congrès de la jeunesse à Sant’Anselmo, à Rome, du 20 au 25 septembre. Plus de 30 étudiants y ont participé, venant du Chili, du Brésil, d’Afrique du Sud, des Philippines, d’Australie, d’Autriche, d’Allemagne et des États-Unis. La rencontre a permis aux étudiants de se rassembler pour la prière, de partager leurs expériences de l’éducation bénédictine à travers les cultures, de visiter des lieux marquants pour l’histoire bénédictine, ainsi que de découvrir la ville de Rome. Après la messe dominicale, les participants ont partagé leur vision de la vie bénédictine dans leurs propres traditions, avant de passer l’après-midi à visiter des sites locaux. Le lundi, après la prière du matin et la messe, le groupe a visité San Benedetto in Piscinula, où saint Benoît a vécu. Après un moment de prière et de réflexion, la journée s’est poursuivie par des étapes à Santa Cecilia, Santa Maria in Trastevere, San Crisogono et Saint-Paul-hors-les-Murs, se terminant par un accueil de l’abbé primat Jeremias Schröder. La journée du mardi a été consacrée à Subiaco, avec des visites au Sacro Speco et au monastère de Sainte Scholastique. Le mercredi a commencé par l’audience papale, suivie de l’entrée par la Porte Sainte et d’une visite de la basilique Saint-Pierre. Après un déjeuner tiré du sac, la journée s’est poursuivie avec Santa Maria Maggiore et le Colisée, avant le retour à Sant’Anselmo — glace à la main. Le congrès s’est achevé par une messe célébrée par l’abbé Jeremias et une soirée récréative au cours de laquelle chaque groupe régional a présenté une chanson ou une danse de sa culture. Les étudiants et les enseignants ont reçu un exemplaire de la règle de saint Benoît, qu’ils ont rempli de messages d’amitié de leurs nouveaux compagnons. Sans surprise, les étudiants ont ressenti de profonds liens, renforcés par la prière commune, les repas, les conversations, la musique et l’expérience inoubliable des lieux centraux de la vie bénédictine à Rome. osb.org https://benedictineeducation.org/

Le 3 octobre 2025, le père Mauritius Wilde a été nommé par le Saint-Siège abbé de Maria Laach (Allemagne). De 2016 à 2025, le Père Mauritius a dirigé comme prieur la communauté de plus de cent moines, étudiants et professeurs à Sant'Anselmo. L’abbé Mauritius, âgé de 59 ans, est originaire de l’abbaye de Münsterschwarzach en Franconie, qui appartient à la Congrégation des Bénédictins missionnaires de Sankt Ottilien. Avant son service à Rome, il a été prieur aux États-Unis et directeur de la maison d’édition renommée Vier-Türme-Verlag à Münsterschwarzach. Pour l’abbaye de Maria Laach, la nomination de l’abbé Mauritius marque la fin de plusieurs années de situation exceptionnelle. Plus récemment, l’évêque Gregor Maria Hanke OSB d’Eichstätt et l’abbé Barnabas Bögle OSB d’Ettal avaient été chargés de l’abbaye comme visiteurs apostoliques. L’abbé primat Jeremias Schröder OSB, de la Confédération bénédictine, a commenté la nomination ainsi : « Pour nous à Sant’Anselmo, c’est une perte. Mais nous nous réjouissons aussi que l’importante abbaye de Maria Laach retrouve désormais une direction régulière et puisse ouvrir un nouveau chapitre de son histoire monastique. Nous remercions tous ceux qui, ces dernières années, ont pris soin de Maria Laach pour leur engagement, et nous souhaitons au nouvel abbé et à ses confrères la bénédiction de Dieu ! » osb.org https://maria-laach.de/

Le 7 octobre 2025, lors d'une réunion à l'abbaye de Wilhering, l'abbé Pius Maurer , de l'abbaye de Lilienfeld, a été élu nouveau président de la Congrégation cistercienne autrichienne. Il a également été décidé que l'abbé Reinhold Dessl, de l'abbaye de Wilhering, resterait premier assistant, et que le père Meinrad Tomann, de l'abbaye de Heiligenkreuz, resterait deuxième assistant. L'abbé Pius Maurer (né en 1971) est originaire de la paroisse d'Unterdürnbach, dans la commune de Maissau (Weinviertel). Après avoir obtenu son diplôme d'études secondaires à Hollabrunn, il est entré à l'abbaye cistercienne de Lilienfeld en 1989. Il a étudié à Heiligenkreuz, Rome et Jérusalem. Il est prêtre depuis 1996 et abbé de l'abbaye de Lilienfeld depuis 2019. Il est professeur invité à l'université de Heiligenkreuz et, en collaboration avec ses confrères moines, il est curé des paroisses de Lilienfeld, Eschenau, Traisen et Wilhelmsburg. Depuis 2022, il est membre du Conseil de l'abbé général de l'Ordre Cistercien. ocist.org

Le 7 octobre 2025, Mère Pascale Fourmentin a achevé son mandat de six ans comme abbesse d’Arnhem (diocèse d’Utrecht, Pays-Bas). Le même jour, elle a été réélue abbesse de la communauté pour un mandat indéterminé. ocso.org https://abdijkoningsoord.org/

Le 24 septembre 2025, nous avons joyeusement célébré le 140e anniversaire de la fondation des Sœurs Missionnaires Bénédictines de Tutzing . La communauté a célébré une messe présidée par l'abbé primat Jeremias Schröder, OSB. Elle a été suivie d'un petit-déjeuner festif pris en commun. À 14 heures, toute la congrégation s'est réunie pour une prière synchronisée et le lancement de la communauté du Togo. Sous le thème « Raviver le don de Dieu en tant que pèlerins de l'espérance », nous avons rappelé avec gratitude la vision de notre fondateur, le père Andreas Amrhein, OSB, et la foi de nos sœurs pionnières qui se sont lancées dans la mission en 1885. Leur courage continue de nous inspirer aujourd'hui alors que nous marchons ensemble dans la prière, la communauté et le service. Raviver le don de Dieu, c'est laisser son Esprit renouveler nos cœurs ; être des pèlerins de l'espérance, c'est marcher vers l'avenir avec confiance et joie. Alors que nous célébrons cette étape importante, nous nous engageons à nouveau à vivre notre vocation missionnaire bénédictine, enracinée dans le Christ, unie dans la communauté et envoyée au service de l'Évangile. osbtutzing.org