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COMMUNAUTÉS 1609 Les communautés qui suivent la règle de saint Benoît sont nombreuses aujourd'hui dans le monde. Elles sont présentées sur les cinq continents et rattachées à la Confédération bénédictine, à la CIB, à l'Ordre cistercien (Ocist) et à l'Ordre cistercien de la Strice Observance (OCSO). Ici, son présentées pays par pays, les coordonnées de toutes ces communautés. Europe 0 Afrique 0 Amérique du Nord 0 Amérique du Sud 0 Asie 0 Océanie 0 Voir tous les pays Voir toutes les communautés Cartes du monde des Monastères Sélectionnez un monastère En savoir plus Histoire des congrégations monastiques La Confédération bénédictine Aujourd'hui, tous les monastères bénédictins sont réunis en un ensemble, appelé Confédération bénédictine, ayant à sa tête un Abbé Primat résidant à Rome. Cette organisation est relativement récente : elle est due au cade Léon XIl et date de 1893. À l'origine, saint Benoît n'avait pas prévu d'organisation structurée entre les monastères : chacun vivait en toute autonomie sous le regard vigilant de l'évêque local. Pour diverses raisons, du cours des siècles, certains se sont groupées soit parce qu'ils étaient proches géographiquement, soit parce qu'ils étaient issus les uns des autres et avaient des observances communes, ou pour d'autres moins encore. Ainsi au IXe siècle, sous l'égide des monarques carolingiens et de Benoît d'Aniane, des monastères réalisèrent entre eux une certaine union ayant des usages uniformes. Un siècle plus tard de nombreux monastères se groupèrent sous l'égide de celui de Cluny ; ce groupement préfigurait les véritables "Ordres" réguliers . ... Lire plus Communio Internationalis Benedictinarum (CIB) La Communio Internationalis Benedictarum (CIB) est née en 2001 à Nairobi au Kenya lors d’une rencontre des représentants des communautés bénédictines féminines du monde entier. Cela faisait environ trente ans que des efforts avaient été entrepris pour réunir par un lien fraternel les moniales et les soeurs affiliées à la Confédération bénédictine. Si chacune des communautés a son charisme propre et sa particularité, les sœurs ont appris à reconnaître et à apprécier leur unité dans la règle de saint Benoît et dans la tradition bénédictine, qui a essaimé à travers les cultures et les pays du monde. La CIB a permis aux sœurs d’expérimenter en profondeur et de façon concrète toute la richesse du charisme bénédictin, qui s’exprime dans la vie de leurs communautés. ... Lire plus

< Retour Constructions Garanhuns (Brésil) Agrandissement d'un bâtiment Projet 3480 - Construction d’un étage de cellules Monastère São Bento (Garanhuns - Brésil) Le monastère de São Bento de Garanhuns a été fondé le 3 avril 1940 par l’évêque du diocèse de Garanhuns, dom Mário de Miranda Villas Boas, l’archi-abbé de la Congrégation bénédictine du Brésil, dom Lourenço Zeller, et le maire de la municipalité de Garanhuns, Dr Celso Galvão. Par décision du Chapitre général de la Congrégation, et sur recommandation de l’archi-abbé Lourenço, deux moines bénédictins de l’abbaye de Rio de Janeiro, dom Domingos de Silos Tavares et dom Gerardo Martins, ont été chargés de fonder un monastère dans le Nord-Est, dont la tâche principale serait de gérer et d’entretenir une école claustrale pour former de jeunes candidats pour les abbayes brésiliennes, en particulier celles du Nord-Est. Le monastère a ensuite été transformé en prieuré dépendant de l’abbaye d’Olinda en 1980, puis érigé en prieuré conventuel le 12 mai 1986, dans le diocèse de Garanhuns. La communauté comprend aujourd’hui une quinzaine de frères. Les frères vendent leurs produits de boulangerie dans leur magasin. Requête Le monastère manque de place pour accueillir les jeunes hommes intéressés par la vie monastique. Le noviciat est déjà composé de trois postulants et cinq novices et huit jeunes souhaitant entrer dans la communauté ne peuvent être accueillis par manque de place. Il est donc prévu d’agrandir un bâtiment déjà existant en y construisant un étage composé de huit cellules. Plusieurs organismes ont été sollicités pour aider au financement de ce projet, la communauté ayant des difficultés financières suite à la pandémie de Covid. Aide financière souhaitée : 10 000 euros. Soutenir ce projet < Projet précédent Projet suivant >

< Retour Véhicules Manille (Philippines) [Mai 2024] Achat d’un véhicule à des fonctions médicales Communauté des Sœurs Bénédictines Missionnaires de Tutzing, Manille (Philippines) Projet 3537 : Achat d’un véhicule à des fonctions médicales La Congrégation des Sœurs Bénédictines Missionnaires de Tutzing a été fondée en Allemagne en 1885. La première fondation en Afrique a vu le jour en 1888, suivie en 1903 d’une fondation au Brésil puis en 1906 à Manille. Aujourd’hui, Les sœurs ont des maisons sur quatre continents (Europe, Afrique, Amérique, Asie), dans seize pays, possèdent douze prieurés et cent vingt-huit missions. Le prieuré Sainte-Scholastique est la première fondation aux Philippines en 1906. Les sœurs sont environ 170 réparties dans 19 communautés. Dans les îles à majorité catholique, les sœurs ont principalement créé des écoles allant de la maternelle au collège et un conservatoire de musique à Manille. Aujourd’hui, des milliers d’étudiants suivent leurs cours dans 25 établissements. Les sœurs gèrent également des hôpitaux et des maisons de retraite. Les sœurs philippines sont actuellement en poste dans presque tous les prieurés du monde, grâce aux nombreuses vocations dans ce pays à majorité catholique. La préoccupation pour les pauvres et une meilleure éducation pour les populations rurales est particulièrement chère aux sœurs. Elles offrent des cours pour une production plus rentable dans l’agriculture locale, se soucient de l’éducation des femmes, s’occupent d’un programme de santé et promeuvent des projets de revenu garanti pour les familles pauvres, comme la fabrication d’uniformes scolaires, d’artisanat etc. Les sœurs ont aussi en charge un grand hôpital dans la région pauvre de Pambujan. Requête Beaucoup de personnes démunies n’ont pas les moyens de se soigner, aussi les sœurs ont développé un projet d’aide directe aux personnes en installant des missions médicales. Un véhicule est utilisé pour convoyer médecins, infirmières et matériel médical afin que le plus grand nombre puisse avoir accès aux soins et aux traitements. Le véhicule actuel est devenu obsolète, et tombe souvent en panne. Il est urgent de le remplacer. Le véhicule Toyota neuf coûte 24 000 euros. Aide financière souhaitée : 22 000 euros. Supporter ce projet < Projet précédent Projet suivant >

< Retour Formation Ampitiya (Sri Lanka, 2e projet) [Mai 2024] Études à Rome SRI LANKA - Monastère de Ampitya, osb Projet 3536 - Études en histoire de l’Église La congrégation sylvestrine est présente au Sri Lanka depuis 1875 (Kandy). Ce fut sa première fondation hors d’Italie. Le nombre croissant de jeunes indiens se ralliant à la communauté a permis de fonder rapidement en Inde. Le prieuré d’Ampitiya a été installé dans la banlieue de Kandy en 1927 et est devenu la Maison-mère des autres maisons qui ont fleuri à partir d’elle au Sri Lanka. La communauté est composée de quarante-quatre frères dont sept moines profès temporaires et deux novices. Les frères cultivent le riz. Ils sont engagés dans la pastorale en tenant des paroisses et un centre de retraite, ils gèrent des écoles pour les enfants des familles les plus pauvres. Requête Frère Kokila, élève brillant, termine le baccalauréat en Théologie en juillet 2024 à Saint-Anselme. Pour les besoins de sa communauté, il commencera une licence en histoire de l’Église à l’Université grégorienne en septembre 2024. Une aide financière serait nécessaire pour couvrir les frais d’inscription. Aide financière souhaitée : 3 000 euros. Soutenir ce projet < Projet précédent Projet suivant >

< Retour Véhicules Dzogbegan (Togo) Achat d'un minibus Moines bénédictins de Dzogbégan, Togo Projet 3454 – Achat d’un minibus Le monastère de Dzogbégan a été fondé en 1961 par l’abbaye d’En-Calcat (France). Il fut érigé en prieuré en 1967 et en abbaye en 1991. La communauté comprend trente-huit frères, dont huit au noviciat. Dès les débuts de la fondation, les moines ont vu la nécessité de construire un dispensaire pour apporter les premiers soins aux villageois. Ils ont fait venir de France deux infirmières. La mortalité infantile a ainsi beaucoup diminué. Pour pouvoir répondre au besoin de la population, les moines ont créé un centre agricole et les jeunes des villages environnants viennent y faire un stage. Ce centre agricole a eu un grand succès au point qu’en 1968 la SORAD (Société Régionale Agricole de Développement) confia aux moines la charge du développement de vingt-cinq villages du plateau. Le monastère a joué et joue un rôle non négligeable en terme de développement : coopérative de planteurs de café, groupement de femmes qui plantent la citronnelle, fabrication de confitures, d’huiles essentielles, production d’épices ; il offre une formation adéquate en apiculture, reboisement, élevage des vaches, des pondeuses et des aulacodes (animal rongeur d’Afrique). Requête Les frères possèdent un minibus qui leur est très utile puisque le monastère est situé sur un plateau, assez éloigné des villes. Ce véhicule est utilisé pour le ravitaillement de la communauté (le marché est à 23 km du monastère), pour descendre à Lomé une fois par mois afin de vendre la production des frères, pour conduire les jeunes frères aux sessions de formation internoviciat, mais aussi pour conduire à l’hôpital les malades soignés dans leur dispensaire, ravitailler ce dispensaire en médicaments et autres besoins, récupérer les productions de café des membres de la coopérative gérée par les frères depuis vingt ans. Ce minibus, de 13 ans d’âge, ne leur pose plus que des problèmes. Les réparations sont hors de prix, et en raison des surchauffes du moteur, les trajets sont de plus en plus aléatoires. Il est urgent de le remplacer par un minibus neuf, Toyota Hiace 3 L de 15 places, qui leur permettra de poursuivre plus sereinement les nombreuses activités dépendantes de ce véhicule. Aide financière souhaitée : 22 400 euros. Soutenir ce projet < Projet précédent Projet suivant >

< Retour Formation Kokoubou (Bénin) Études en philosophie pour six frères Projet 3522 - Études en philosophie BÉNIN - Monastère de Kokoubou, ocso Le monastère a été fondé en 1972 par l’abbaye cistercienne de Bellefontaine (France) à l’appel de Mgr Bernardin Gantin, alors évêque auxiliaire de Cotonou. En 2014, la communauté a élu son premier prieur béninois. La communauté compte une vingtaine de frères dont cinq profès temporaires et un novice. La communauté fabrique du fromage blanc venu dans plusieurs magasins, jusqu’à Cotonou ; de la confiture, élèvent des volailles. Depuis quelques années, ils ont investi dans le secteur de la phytothérapie en produisant leurs propres produits (poudre de moringa, de vernonia, écorce de karaté, pommade à base de propolis). Requête Six étudiants de la communauté étudient au studium de la communauté où sont dispensés des cours de philosophie, de méthodologie, de théologie, de liturgie, de lectio divina , de langues classiques ; ils sont en deuxième année de philosophie. Une aide financière serait nécessaire pour couvrir les honoraires des professeurs et le coût des ordinateurs dont les étudiants ont besoin. Montant souhaité : 5 300 € Soutenir ce projet < Projet précédent Projet suivant >

< Retour Formation Tagaytay (Philippines) [Mai 2024] Session de formation monastique PHILIPPINES - Centre de spiritualité Sainte-Scholastique, Tagaytay, osb Projet 3548 - Formation monastique pour les communautés La Congrégation des Sœurs Bénédictines Missionnaires de Tutzing a été fondée en Allemagne en 1885. La première fondation en Afrique a vu le jour en 1888, suivie en 1903 d’une fondation au Brésil puis en 1906 à Manille. Aujourd’hui, Les sœurs ont des maisons sur quatre continents (Europe, Afrique, Amérique, Asie), dans seize pays, possèdent douze prieurés et cent vingt-huit missions. Le centre de spiritualité Sainte-Scholastique dépend du prieuré du même nom à Manille. Aux Philippines, les sœurs sont environ 170 réparties dans 19 communautés. Dans les îles à majorité catholique, les sœurs ont principalement créé des écoles allant de la maternelle au collège et un conservatoire de musique à Manille. Aujourd'hui, des milliers d'étudiants suivent leurs cours dans 25 établissements. Les sœurs gèrent également un hôpital. Les sœurs philippines sont actuellement en poste dans presque tous les prieurés du monde, grâce aux nombreuses vocations dans ce pays à majorité catholique. Requête L’Institut Saint-Benoît a été fondé au centre spirituel de Tagaytay, il y a quelques années. Pour la première fois en 2024 un cours de formation monastique a été proposé du 18 mai au 1er juin pour les communautés bénédictines et cisterciennes des Philippines, d’Australie et d’Afrique. L’objectif de ce cours est de promouvoir la vie monastique en Asie et en Océanie et de permettre aux membres des communautés qui ne peuvent se former en Europe ou aux États-Unis d’approfondir leur propre vie monastique. Cette session a réuni entre 50 et 60 membres de la Famille bénédictine, hommes et femmes et a été dispensée par une sœur bénédictine du monastère de Ferdinand (USA). Une aide financière serait nécessaire pour couvrir les frais de la session. Aide financière souhaitée : 25 000 euros. Soutenir ce projet < Projet précédent Projet suivant >

< Retour Véhicules Pugu (Tanzanie) [Mai 2024] Achat d'une voiture Bénédictins du monastère Saint-Benoît, Pugu (Tanzanie) Projet 3529 : Achat d’une voiture pour l’apostolat Le monastère Saint-Benoît de Pugu a été fondé en 1988, puis reconstruit en 1998. Il est affilié à l’abbaye de Mvimwa depuis 2016, et est situé à 21 km de Dar es Salaam. Il fait partie de la congrégation bénédictine missionnaire de Sankt Ottilien (Allemagne). La mission principale de la petite communauté est de gérer le centre de pèlerinage des martyrs de Tanzanie parmi lesquels se trouvent des bénédictins et bénédictines, le centre spirituel qui s’y trouve, le programme de base de la Bible africaine - qui a été créé pour aider les gens à connaître la Bible de manière simple -, et également de travailler dans les paroisses. Requête En raison du manque de moyen de transport, l’apostolat est difficile, comme par exemple la visite des malades. Les frères ont donc décidé d’acheter une voiture Toyota Vanguard SUV afin de faciliter leurs déplacements. Aide financière souhaitée : 5 000 euros. Supporter ce projet < Projet précédent Projet suivant >

< Retour Véhicules Calapan (Philippines) Achat d'un minibus Monastère de San Rafael Heights (Calapan City - Philippines) Projet 3468 – Achat d’un minibus Le monastère de Calapan a été fondé par la communauté de Vigan en 1990, il a été élevé au rang d’abbaye en 2018. Il fait partie de la jeune congrégation des Moniales Bénédictines du Roi Eucharistique (Benedictine nuns of Eucharistic King, BNEK). Les sœurs sont actuellement vingt et une, dont cinq ont entre 80 et 90 ans. Leur subsistance est assurée par l’hôtellerie (retraites de groupe ou individuelles), le magasin et leur production de pain d’autel. Les sœurs ont une vie centrée sur la prière et le travail ; elles soutiennent financièrement quelques bourses d’étudiants et aident quelques personnes pauvres voisines. Requête La communauté possède un minibus L300 de seconde main offert par un bienfaiteur. Cette voiture sert pour toutes les sorties des sœurs : courses, livraisons de produits, rencontres religieuses, mais aussi pour conduire les sœurs âgées à l’hôpital ou à d’autres lieux médicaux. Malgré son entretien, la voiture tombe de plus en plus souvent en panne, n’importe quand et n’importe où, ce qui pose de gros problèmes aux sœurs. Les réparations se multiplient et coûtent de plus en plus cher. Les sœurs souhaitent remplacer cette vieille voiture par l’achat d’un minibus neuf. Aide financière souhaitée : 17 000 euros. Soutenir ce projet < Projet précédent Projet suivant >

< Retour Formation Campos do Jordão (Brésil) [Mai 2024] Cours de Formation Monastique à Rome BRÉSIL - Monastère de Campos do Jordão, osb Projet 3574 - Participation au Cours de Formation Monastique Fondé en 1964 par l’abbaye de Uberaba, le monastère est érigé en abbaye depuis 1981 et fait partie de la Congrégation brésilienne. La communauté est composée d’une vingtaine de sœurs. Les sœurs fabriquent de la confiture, des biscuits et gâteaux. Elles ont une hôtellerie ; elles font de la catéchèse pour enfants et adultes. Elles aident la population locale autant qu’elles le peuvent en distribuant de la nourriture, des vêtements et des médicaments. Requête Deux sœurs poursuivent leur formation au Cours de formation Monastique (CFM) de l’Ordre cistercien, qui aura lieu du 26 août au 21 septembre 2024 à Rome (deuxième année). Le CFM est sous le patronage de l’académie pontificale Saint-Anselme (Rome). La durée du CFM est de trois périodes de cinq semaines en trois années consécutives, de fin août à fin septembre. Le CFM est consacré à l’étude des sources et de la tradition monastique, aux connaissances patristiques et liturgiques, aux connaissances de spiritualité propres à l’idéal et au patrimoine culturel monastique, au contact avec les sciences humaines, et surtout à une solide connaissance de l’Écriture Sainte et la théologie monastique. Quelques visites culturelles et spirituelles enrichissent la formation intellectuelle. Une aide financière serait nécessaire pour les frais d’inscriptions et de voyages. Aide financière souhaitée : 5 000 euros. Soutenir ce projet < Projet précédent Projet suivant >

< Retour Formation Peramiho (Tanzanie) [Mai 2024] Programme de formation TANZANIE - Communauté de Peramiho, osb Projet 3531 - Programme de formation pour renouveler l’esprit missionnaire des sœurs La Congrégation des Sœurs Bénédictines Missionnaires de Tutzing a été fondée en Allemagne en 1885. La première fondation en Afrique a vu le jour en 1888 (Peramiho), suivie en 1903 d’une fondation au Brésil puis en 1906 à Manille. Aujourd’hui, Les sœurs ont des maisons sur quatre continents (Europe, Afrique, Amérique, Asie), dans seize pays, possèdent douze prieurés et cent vingt-huit missions. Les sœurs de Peramiho font du soutien scolaire, gèrent un dispensaire de santé et des missions pastorales diverses. Requête Les premières fondatrices ont versé leur sang en Tanzanie pour leur foi, c'est l'un des endroits où réside le trésor historique de la Congrégation. Afin d'inculquer et de renouveler l'esprit missionnaire chez les sœurs professes perpétuelles de dix ans et plus, la Maison Généralice, en coopération avec les deux prieurés de Peramiho et Ndanda, a prévu d'offrir un programme de renouveau significatif qui couvre des conférences et des pèlerinages à des sites historiques importants. La formation aura lieu du 30 juin au 21 juillet 2024, avec 25 participants des 12 couvents et des maisons du district généralice. Une aide financière serait nécessaire pour mener à bien ce projet : 18 000 euros. Soutenir ce projet < Projet précédent Projet suivant >